Ghandor étant en fin de vie atteint d'une maladie incurable (la PIF) , nous recherchons une personne capable de lui administrer ses médicaments quotidiennement et proche de Strasbourg ou Haguenau pour pouvoir effectuer le chemin rapidement pour aller chez le vétérinaire en cas de besoin.
Nous voulons lui éviter de finir sa vie seul dans une minuscule cage et qu'il ait encore un peu d'amour. A 5 mois on ne devrait pas s'éteindre mais vivre encore de longues années, malheureusement Ghandor n'aura pas cette chance.
Nous cherchons une famille pour une dizaine de jour (espérance de vie) sans autre chat et assez présente pour surveiller l'évolution de sa santé et surtout le caliner.
Le we de Noel est long, ce serait terrible pour lui de s'endormir définitivement seul chez le vétérinaire.
Le 21/12 à 18h30 visite de mon petit amour:
Ghandor est terriblement calin, les vétérinaires et leurs assistantes me disent combien il est gentil avec eux et réclament de l'affection derrière ses barreaux ...
Ce soir il me suppliait de le sortir de la cage du vétérinaire, il se roulait sous mes mains en voulant presque jouer, cherchait à faire des bisous, tentait de se coller à moi et de tout faire pour que je ne m'en aille pas sans lui mais je n'ai aucun endroit où le mettre sans autre chat !!!
Son état est stationnaire mais une récidive est attendue pour cette maladie qui ne laisse aucune chance, les vétérinaires m'ont encore dit qu'il faut ABSOLUMENT TROUVER UNE FAMILLE POUR RENDRE SA FIN DE VIE PLUS DOUCE DURANT LES QUELQUES JOURS QUI LUI RESTENT et ne surtout pas le laisser se morfondre au fond de sa cage !!!
C'est un déchirement de lui imposer une fin de vie aussi terrible lui qui a toujours été entouré d'humains et de ses frères ne comprend pas cette insoutenable solitude avant de mourir.
Le 23/11:
Ghandor est retourné dans sa FA, il y restera jusqu'à mardi puisque la famille part ensuite en vacances une semaine.
Il devra alors retourner chez le vétérinaire si son état est toujours stationnaire sans récidive. Nous ne le laisserons évidemment pas souffrir si la maladie reprenait de façon plus agressive.
Il nous a couvert de câlins quand il a été cherché, son regard montrait tellement d'amour qu'il était impossible de ne pas pleurer.